FLASH ISLAM N°25

S’INFORMER Bismihi soubhanahou ta’alah ET PRATIQUER

Novembre 2007 Zoul Qa’dah 1428

FLASH ISLAM N°25


HADITH, PAROLES ET TRADITIONS DU PROPHETE MOUHAMMAD (SAW)

A propos de l’aumône : « Ne calcul pas : Dieu calculerait avec toi.» (Boukhâri)

DOU’A AU MOMENT DE DORMIR :


اَلْحَمْدُ لله الَّذِيْ اَحْيَانَا بَعْدَ مَا اَمَاتَنَا وَ اِلَيْهِ النُّشُوْر
ālḥamdou li-Lāh al-ladhī āḥyānā ba`da mā āmātanā wa āilayhi n-nushoūr

« Toutes louanges à Celui qui nous a donné la vie après nous avoir donné la mort (le sommeil) et vers lui est le retour ».


NOMS MUSULMANS :

FILLES : ---Malda: tendre, souple.
---Malak: créature angélique, ange .
---Bashîra : dont le visage est beau, avenant, qui annonce de bonnes nouvelles.

GARCONS : ---Wakil: celui à qui l’on confie ses affaires, garant. Un des noms du Prophète Sallallahou Alyhi Wassalam.
---Wâ ïl: qui cherche refuge, échappe au malheur.
---Aslam: superlatif de Salîm, très préservé, inaltéré, intégral.

UN SOURIRE : LA JALOUSIE

Une femme voulait joindre son mari sur son téléphone portable mais elle s’aperçut qu'elle n’avait pas suffisamment de crédit.
Elle demanda donc à son fils d’utiliser son propre téléphone pour transmettre un message urgent à son papa qui était à son travail.
Après que le fils ait appelé, il dit à sa maman qu'il y avait une dame qui a pris le téléphone du papa les trois fois qu'il a essayé de le joindre sur son mobile.
Elle attendit donc impatiemment son mari au retour de son travail et en le voyant dans l'allée ; elle se précipita dehors et lui donna une bonne claque.
Les gens du voisinage se précipitèrent autour d’eux pour découvrir ce qu'était la cause de cette agitation.
Le femme demanda au fils de dire à tout le monde ce que la dame a dit quand il a appelé.
Le fils dit : « Le numéro que vous avez appelé n'est pas disponible pour le moment. Veuillez essayer ultérieurement. »

LE CHARPENTIER :

Un vieux charpentier expérimenté était prêt à prendre sa retraite.

Il fit part à son employeur de son intention de quitter son emploi dans la construction de maisons et de vivre une vie plus agréable avec sa famille. Il perdrait son salaire, mais il doit se retirer.
L'employeur était désolé de voir son bon ouvrier s’en aller. Il lui demanda s'il pourrait construire juste une dernière maison comme une faveur personnelle.
Le charpentier accepta sur cette proposition veilla à ce que ce soit son dernier projet.
Étant d’humeur à se retirer, le charpentier ne prêta pas beaucoup d'attention à construire cette dernière maison. Son coeur n'était pas dans son travail.
Il eu recourt à une main d’œuvre moyenne et employa des matériaux de qualité inférieure. C'était une triste façon de finir sa carrière.
Quand le travail fut réalisé, le charpentier appela son employeur et lui montra la maison.
L'employeur lui remis alors quelques papiers et la clef de la maison au charpentier et lui dit : « ceci est ta maison, c’est ton cadeau de ma part. »
Le charpentier fut très surpris ! Quel dommage ! S'il avait seulement su qu'il construisait sa propre maison, il l'aurait faite mieux que n'importe quelle autre maison qu'il a jamais construite !

CONCLUSION

Notre situation peut être comparée à ce charpentier. Allah Ta'ala nous a envoyés dans ce monde pour construire nos maisons dans le paradis en obéissant à ses commandement.
Maintenant, nous devons décider comment nous souhaitons construire les maisons où nous vivrons pour toujours.
Tandis que nous embellissons parfaitement notre maison en ce monde, prenant soin à ce qu’elle soit construite au niveau standard le plus élevé, n’oublions pas ou ne soyons pas négligent à construire la plus parfaite et la plus belle des maisons pour la vie éternelle à venir pour ne pas dire un jour : « si j’aurais su…. » SAGESSE ARABE:

Al Mouhallab disait à ses fils : « Mes enfants ! Les meilleurs vêtements que vous puissiez porter sont ceux que portent les autres, s’ils proviennent de votre générosité envers eux. »

«La richesse diminue quand on la dépense tandis que la science croit quand on la répand »

Transmettez Flash Islam à vos proches et à vos amis.

M. Louqman A.S. Ingar